Parfois, les recommandés arrivent ...

Petit coup de téléphone ce matin au Tribunal d'Instance de Lagny-Sur-Marne, on m'a bien confirmé que le recommandé était arrivé et entre de bonnes mains ...

C'est pas beau l'avis ?

J'avais aussi demandé des changements au tuteur,en ce qui concerne la maison de retraite, après tout il doivent s'en occuper en vu de leurs meilleurs intérêts ...

Reste à savoir combien de temps cela va mettre : Et pendant ce temps là ...

Pas de nouvelles, …

J'ai eu le désagrément d'écrire ce Mardi par recommandé avec avis de réception au Juge Des Tutelles, car je n'obtenais pas de réponses à mes fax et appels téléphoniques au tuteur.

Juste quelques questions pas dérangeantes du tout (d'ailleurs le tuteur "n'a rien à cacher"), comme :
"Il est passé où le pognon ?"

Je suis sûr que la réponse va être d'une réactivité débordante.

Des nouvelles, bonnes nouvelles ?

Bien, depuis que j'ai créé ce blog et que je l'ai envoyé en liens par mail au services concernés, je vois que j'obtiens enfin des réponses écrites :

Réponse de l'ARS DDASS (2010-12-31). Plutôt encourageant de trouver quelqu'un qui voit le problème.

Réponse de la DGA Solidarité (2011-01-12)

Ca fait plaisir de voir qu'il y a un dossier, avec un numéro et qu'il y a quelqu'un au bout du téléphone courrier.

Pour les réponses du/des médecins, je ne me fais aucune illusion. Tout le monde n'a pas la chance de tomber sur Mr PELLOUX.

Shuuuuut …

A ma grande surprise, j'ai reçu un mail d'une personne qui pense que cela me fait plaisir de faire ce blog ...
Non monsieur, je n'ai pas besoin de psychiatre, ni de médicaments qui font grossir (voir mourir ...).
Tout ce que je dis est bel et bien arrivé. D'ailleurs jusqu'ici, personne n'a jamais répondu par un quelconque courrier à mes demandes verbales ou écrites, sachant que mes premiers courriers datent de fin 2009 ...

Ci-joint, mon échange par mail avec mon premier visiteur (admirateur?) : votre article sur internet

Vivement que tout le monde (comme vous) réponde enfin à mes questions ...
Oui, je sais il faut se taire, car toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire ...

PS: devant tant de popularité, j'ai décidé d'ajouter un outil de traduction sur le coté droit de la page ... --> Pour que la bonne parole se propage.

Ce n'est pas de ma faute, c'est la faute ...

... de mon collègue.

Ce lundi 3 janvier 2011. J'ai eu le plaisir d'avoir le médecin coordinateur de la Résidence de Diane au téléphone.
Il me téléphone pour me souhaiter la bonne année mais aussi pour ce courrier que j'ai envoyé à la DDASS.

Je lui explique que j'attends toujours les fameux justificatifs des soins dentaires qu'elle aurait reçus pendant ses 3 années d'hébergement à la Résidence de Diane et qu'il m'a promis de me transmettre les deux dernières années.
Et là, stupeur, il me parle du Secret médical !!!
Mais oui le fameux secret médical. Bien sûr, il ne s'explique plus pourquoi il ne m'en avait pas parlé lors de nos derniers échanges téléphoniques, lorsqu'il me promettait de me faire parvenir les documents ...

J'en profite pour lui parler de la soudaine prise de poids (qui commence sérieusement à rapprocher ma mère de l'obésité), et là il me sort une nouvelle fois l'argument imparable : c'est la faute du changement de traitement !!! Je lui demande comment se fait-il qu'il ne réagisse pas, pourquoi avoir changé le traitement alors que tout allait bien ?
Nouvel argument imparable : c'est son collègue qui l'a changé. Devant mon insistance à lui demander de réagir, de communiquer avec son collègue, il me propose de le rencontrer pour s'expliquer de tout cela, verbalement bien sûr ...
Je lui fais remarquer qu'il doit toujours se justifier auprès de la DDASS, dont j'attends la réponse sur tous ces éléments.
Je ne lui parle même pas de la direction des personnes âgées du Conseil Général de Seine-et-Marne, dont choses étranges, j'attends aussi la réponse sur plusieurs questions.

Je lui explique également que je n'ai pas le temps de lui apprendre son travail, qu'il semble ne pas comprendre qu'il a la responsabilité de la vie des résidents, et que je ne vais pas passer ma vie à faire les diagnostics qu'ils devraient faire.

A bientôt pour la suite de nos aventures aux pays des bisounours, celui où la culpabilité s'efface devant les responsabilités ...